dimanche 16 décembre 2007

BCBG, de casser du Corse?

Je ne pensais certes pas être le seul à déplorer les écarts de Nicolas Sarkozy et de son gentil perroquet Christophe Barbier à propos de la Corse... mais j'ai pu constater en surfant sur le net que nous étions vraiment nombreux à ne pas tolérer ce racisme BCBG.

Bien évidemment, tous les commentaires ne se valent pas, mais en parcourant le blog de Jean François Achilli, j'ai trouvé un édito d'Antoine Albertini (dans Corscica) que je vous livre bien volontiers: http://www.wmaker.net/achilli/Les-Clercs-obscurs,-par-Antoine-Albertini-_a321.html

1 commentaire:

Manu a dit…

Ce Barbier est une honte pour le journalisme.

Il fait des erreures factuelles sans arret quand il parle de la Corse lors de débat.

Andréani lui a rappellé quelques vérités quand il a cité les indépedantiste calédoniens comme exemple à suivre pour les vilains Corses.

Avait-il oublié ce qui avait amené l'état à négocier en Nouvelle-Calédonie ce nul, et le massacre de plusieurs gendarmes à la machette ?
Si c'est ça la revendication exemplaire et démocratique selon Barbier, ou va -t'on ?

J'en ai fait par à C dans l'air sur leur site.

D'habitude ils font appel à des spécialistes.

En quoi est-il spécialiste de la Corse ce pitre.

Quel ets son vécu, à ce gus a part quelques fiches, mal préparéses.

En plus il bosse mal son dossier.

Je parle même pas de son positionnement ça c'est son droit, mais des erreures factuelles, des comparaisons historiquement fausses !!!

C'est une honte pour le journalisme ce gars, sous sa brillance de noramalien, trés bobo, avec son écharpe rouge dans une posture à la "Bruant".

un médiocre critique de théatre, un palabreur de diner chic parisien, qui se prend pour un géopolitque averti.

Minable

Pour moi quand il parle comme ça de sujets ou il comprends rien à rien à l'évidence, il fait plus penser à un bouffon qu'à autre chose.

En ce moment il frétille le Barbier, vu que c'est l'ami, l'intime de Carla Bruni, il se voit déjà en haut de l'affiche :

Interlocuteur priviligié du Prince Sarko, tout en gardant un oeil sur le c.... de la régente.

Un peu comme les confesseurs de la reine sous la monarchie

Le nirvana des jésuites.

Pauvre et pathétique Barbier